Immobilier : l’Essonne est populaire auprès des jeunes franciliens
L’Essonne est le département francilien le plus populaire chez les primo-accédants.
La banlieue parisienne a la côte auprès des acquéreurs. En particulier chez les jeunes actifs primo-accédants. Grâce à la tenue des Jeux Olympiques en 2024 et le Grand Paris, l’Ile de France attire plus que jamais. A cela s’ajoute les conséquences de la crise sanitaire qui a motivé l’intérêt pour les maisons individuelles.
Selon une étude du Crédit Agricole, l’Essonne est le département le plus populaire auprès des primo-accédants avec 17% de projets immobiliers. Les trois communes du 91 qui attirent le plus sont : Evry-Courcouronnes, Massy ou encore Savigny-sur-Orge. En revanche, la capitale recule de plus en plus dans le cœur des acquéreurs, en effet seuls 12 % des acquéreurs ont décidé de s’y installer.
Concernant les primo-accédants, on remarque aussi qu’ils sont de moins en moins nombreux. Ils deviennent même minoritaires : à la même période, 46% des emprunteurs contre 58% l’année dernière. Ces profils, pourtant très recherchés par les banques, représentent en moyenne 20 à 25 % de la production de crédit. En moyenne, ces jeunes acquéreurs sont âgés de 34 ans et empruntent environ 281 000 € (soit -4.5% qu’au premier semestre 2020) sur plus de 22 ans afin d’acquérir des biens anciens plus chers : 362 000 € (soit + 1.9% sur un an).
Un apport de 10%
L’accès à la propriété est de plus en plus compliqué pour les jeunes, en effet les prix immobiliers augmentent et les conditions d’emprunt sont strictes. De plus, les taux maintiennent leur niveau très bas, ce qui rend les marges de manœuvre. Afin d’obtenir un crédit immobilier, les acquéreurs doivent avoir un apport d’environ 10%. Une condition difficile à respecter pour ces populations qui n’ont pas toujours des revenus suffisants pour se constituer un apport ni beaucoup d’épargne.
Au cœur de la capitale, les 15e et 18e arrondissements font partie des endroits préférées des acquéreurs. Côté banlieue, les Hauts de Seine possèdent 4 villes parmi les 10 plus prisées d’Île de France (Rueil-Malmaison, Boulogne-Billancourt et Colombes.
Source : Le Figaro
La banlieue parisienne a la côte auprès des acquéreurs. En particulier chez les jeunes actifs primo-accédants. Grâce à la tenue des Jeux Olympiques en 2024 et le Grand Paris, l’Ile de France attire plus que jamais. A cela s’ajoute les conséquences de la crise sanitaire qui a motivé l’intérêt pour les maisons individuelles.
Selon une étude du Crédit Agricole, l’Essonne est le département le plus populaire auprès des primo-accédants avec 17% de projets immobiliers. Les trois communes du 91 qui attirent le plus sont : Evry-Courcouronnes, Massy ou encore Savigny-sur-Orge. En revanche, la capitale recule de plus en plus dans le cœur des acquéreurs, en effet seuls 12 % des acquéreurs ont décidé de s’y installer.
Concernant les primo-accédants, on remarque aussi qu’ils sont de moins en moins nombreux. Ils deviennent même minoritaires : à la même période, 46% des emprunteurs contre 58% l’année dernière. Ces profils, pourtant très recherchés par les banques, représentent en moyenne 20 à 25 % de la production de crédit. En moyenne, ces jeunes acquéreurs sont âgés de 34 ans et empruntent environ 281 000 € (soit -4.5% qu’au premier semestre 2020) sur plus de 22 ans afin d’acquérir des biens anciens plus chers : 362 000 € (soit + 1.9% sur un an).
Un apport de 10%
L’accès à la propriété est de plus en plus compliqué pour les jeunes, en effet les prix immobiliers augmentent et les conditions d’emprunt sont strictes. De plus, les taux maintiennent leur niveau très bas, ce qui rend les marges de manœuvre. Afin d’obtenir un crédit immobilier, les acquéreurs doivent avoir un apport d’environ 10%. Une condition difficile à respecter pour ces populations qui n’ont pas toujours des revenus suffisants pour se constituer un apport ni beaucoup d’épargne.
Au cœur de la capitale, les 15e et 18e arrondissements font partie des endroits préférées des acquéreurs. Côté banlieue, les Hauts de Seine possèdent 4 villes parmi les 10 plus prisées d’Île de France (Rueil-Malmaison, Boulogne-Billancourt et Colombes.
Source : Le Figaro